Biographie
Annick GASTON, Artiste peintre graveur de notoriété internationale, se joint à ce projet par son illustration complice de la poésie.(http:/annickgaston.f ...
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Annick GASTON, Artiste peintre graveur de notoriété internationale, se joint à ce projet par son illustration complice de la poésie.(http:/annickgaston.f ...
Pendant plus d’un siècle, les touristes montant au château de Saumur ont cherché la maison décrite par Balzac dans son Eugènie Grandet, mais en vain.
Chacun fabulait car rien ne correspondait, allant jusqu’à penser que Balzac avait tout inventé et ne s’était jamais donné le mal de venir à Saumur pour décrire cette montée tortueuse qui menait au château.
Combien y a-t-il de châteaux, manoirs, gentilhommières et autres belles demeures en Maine-et-Loire ? Difficile question à laquelle peu ont osé répondre : soixante-dix? trois cents ? mille cinq cents ? La seule certitude est que notre département est d’une richesse historique et patrimoniale incroyable ! Et que seul un passionné comme Luc Simon pouvait tenter humblement de livrer, enfin, un inventaire de tous ces châteaux, manoirs, demeures qui parsèment l’Anjou.
Souvenirs d’un médecin de campagne pendant la dernière guerre. Vie d’une famille, d’un village où le drame côtoie parfois le burlesque. Pont détruit sur la Loire, le praticien devient à demi marinier, jour et nuit.
Histoire vraie qui rattrape la grande Histoire, et où sont croqués des personnages pittoresques.
Tout autour de Paris existe une voie ferrée désaffectée, elle borde la capitale de l’intérieur, avant les boulevards des maréchaux. Elle reste souvent visible, pour les passants curieux, entre les branchages ou par les ponts qui l’enjambent.
C’est en 1851 que Louis-Napoléon Bonaparte décide de la mise en place d’une ligne ferroviaire de ceinture sur la rive droite de Paris, qui fut construite en quelques années et rapidement complétée d’une ligne sur la rive gauche. La ligne ferroviaire sans doute la plus mythique de France était née : La Petite Ceinture de Paris !
« Rillettes et rillons » opéra-comique en cinq actes est joué à Tours en 1724 et « Le général Pruneaux (de Tours) », comédie en un acte, est écrite en 1887. Quand les spécialités culinaires d’une région font l’objet de deux pièces de théâtre, sa renommée gastronomique en dépasse les frontières.
Malgré la présence d’officiers allemands dans sa maison réquisitionnée, Anne Massot tient un journal dès 1940. Echappé depuis peu à la décharge publique, celui-ci est un étonnant témoignage sur le quotidien de l’Occupation vécu par une femme de la bourgeoisie à Saint-Florent le Vieil en Anjou. Grâce à ses déplacements et à un abondant courrier, Anne Massot y multiplie également les renseignements sur Blain (sa commune natale en Loire Atlantique), Angers, Nantes, Paris ou Dunkerque…
Sous son regard lucide, parfois ironique sur les comportements des occupants et des occupés, s’égrènent les heures noires de l’Occupation où la vie continue coûte que coûte dans l’attente de jours meilleurs et du retour de la liberté.
Le corps franc d’Indre-et-Loire trouve ses racines dans la Résistance tourangelle.
Après la libération de Tours, 212 jeunes volontaires signent un engagement et rejoignent dans les Vosges la première armée commandée par le général de Lattre de Tassigny. Hier « combattants de l’ombre », ils luttent enfin en pleine lumière. Ces soldats ont pour seule obsession de chasser l’occupant du territoire national. Début 1945, ils intègrent le 20e bataillon de chasseurs alpins du commandant Vigan Braquet mais, jusqu’à la fin de la guerre, ils ne s’embarrassent guère de discipline et entretiennent la tradition des corps francs.
Le lieutenant Louis Planchard, dit « p’tit Louis », homme de caractère, sert de guide pour raconter l’épopée de ce groupe d’hommes déterminés ; pour nous entraîner dans la traversée d’un monde dévasté par la barbarie où l’héroïsme côtoie les actes les plus méprisables.
Gens de Vendée, dont les fermes haut perchées, qui voient des étendues et reçoivent les premières le souffle des marées ; gens de chez nous, gens de partout, mais nés de la même souche antique, si j’ai accepté de vous présider ce soir, c’est que j’avais quelques petites histoires à vous conter.
La Vendée est riche en tournages de cinéma, et les références ne manquent pas, permettant même de remonter aux sources balbutiantes du 7e Art : des frères Lumière et l’ère du muet aux Vacances du Petit Nicolas, tourné en 2013 à Noirmoutier, en passant par La terre qui meurt (1925), avec Madeleine Renaud à Sallertaine, La ferme du pendu (1945) à Pouzauges, avec Charles Vanel et Bourvil à ses débuts, Les vieux de la vieille (1960) en pays apremontais et vicomtois avec le mythique trio de
pépés anars Gabin-Fresnay-Noël…
La Loire, longtemps au XIXe siècle, est un axe de communication inévitable pour se rendre dans louest de la France ou en revenir. Même lorsquelle nest plus navigable, elle accompagne dOrléans à la côte le voyageur qui emprunte le chemin de fer. Pour diverses raisons, les plus grands romantiques lont ainsi longée.