Description
D’albâtre, la mousse immaculée d’un nuage naufrage le souvenir – oui, naufragé, le souvenir, telle vaine la pierre appelant l’autrefois, avances-tu, Poète – alors qu’une enfance s’agite dans les abîmes de l’Image.
(D’après Cl. C.)
Crépuscules : Une unique phrase court sur une trentaine de pages, reliant l’enfance avec ses bonheurs, ses peines, ses rêves, à cette période que certains appellent le grand âge, moment de sérénité où le futur s’achemine vers un passé définitif. Le tout dans le souvenir lumineux du Coup de dés de MALLARMÉ (Cl. C.)