• Chroniques d’un EHPAD

    EHPAD des Pruniers, quelque part en France…
    Gus, aide-soignant, y a découvert une vocation et nous partage son quotidien.
    Entre des collègues aux personnalités diverses, des patients extravagants, des situations plus qu’improbables, le voyage dans ce monde méconnu sera unique, émouvant, plein d’aventures mais surtout… très drôle !

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  • À l’ombre des chapeaux de paille

    Été 1887. La jeune Rose, originaire de Chaudefontaine, dans le Doubs, termine ses bagages. Sait-elle déjà qu’elle s’apprêtera plus tard à traverser l’océan ?
    Cette destinée imaginaire conduit le lecteur entre Doubs et Guyane, de 1887 à 1914. Elle évoque la condition des femmes d’alors mais aussi le cas des multirécidivistes de délits mineurs, condamnées à la Relégation en Guyane, soumises à l’impitoyable loi du bagne et à la stricte surveillance des religieuses de Saint-Joseph-de-Cluny.
    Le parcours de Rose illustre la migration de la campagne vers la ville, le dur labeur des gens du peuple, le basculement en une époque de découvertes technologiques et scientifiques fulgurantes, durant laquelle la laïcité s’immisce dans une société jusque-là très religieuse.

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  • Vu d’ici, vues d’ailleurs

    100 photos et autant de découvertes, 50 ans d’images ramenées de voyages lointains ou prises en Anjou…
    loin des clichés touristiques, l’auteur nous emmène dans 12 pays d’Europe, d’Afrique et d’Océanie à la rencontre de lieux et de personnes inattendues.

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  • Délits d’encre n°43 – Les grands écrivains du Val de Loire

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Les grands écrivains du Val de Loire
    par Philippe Nédélec

    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Maisons et musées d’écrivain en Val de Loire

    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Florilège de textes du XIXème et XXème siècle sur le Val de Loire

    10,00 
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  • Ayaline le Neuf, Kraspaïé

    Déconcertants, les habitants de Laptev-Arou le sont presque toujours. Batailleurs, braillards, ils ne cessent de s’affronter, au mieux en palabres interminables, au pire à coups de poing ou de pelle.
    Ils possèdent la science du commerce des idées folles, lubie lucrative inventée par un rebouteux peu scrupuleux ; ils mènent à bien de grands projets, comme la construction du chemin de fer, mais sur des bases inattendues, tel ce tracé de voie ferrée déterminé par un simple d’esprit.
    Certains bougent, s’agitent, voyagent, rencontrant des compères pour le moins effrayants qui ont tanné des peaux humaines ou participé à la traite des femmes au profit des lupanars d’Extrême-Orient.
    Et pourtant, ils écoutent certains jours les Hommes de Dieu qui tentent d’adoucir les mœurs, ils se plient quelquefois aussi à l’autorité civile. Et ils reviennent finalement toujours vers leur plaine natale, parce que, comme l’affirme Koujine, le chef d’Ayaline le Neuf, on appartient toujours un peu à son village, aux membres de son village. On appartient toujours un peu à la mémoire de tous, à la mémoire collective.

    24,00 
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  • Vimer

    Avis de tempête sur Noirmoutier

    Une tempête d’équinoxe précipite le naufrage de l’île de Noirmoutier grignotée par l’inexorable montée des eaux de l’Atlantique. Lorsque Pouli débarque pour une série de reportages sur la reconstruction, commandée en sous main par des stratèges du BTP, l’eau a décapé les faux semblants. Dans le petit paradis touristique, des tensions longtemps tenues sous le boisseau par l’illusion du développement à marche forcée refont surface. Avec sa vieille copine écolo, la mystérieuse Tinhinan, il se frotte aux ambitions mégalomanes du maire lancé dans un chantier pharaonique pour arracher l’île à l’emprise de l’Océan. Mais l’eau salée fraye son chemin en silence dans l’argile des marais et menace son beau projet immobilier sous le regard cynique des marchands de béton…

    20,00 
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  • Les Mites

    Juliette est en vacances pour une semaine à La Rochelle avec son mari et sa fille. Dans l’ambiance dissonante qui règne au sein du couple, les étés se ressemblent tous et la vie glisse sans drame et sans joie.
    Jusqu’au jour où Juliette ouvre un livre, sur la plage. Un de ces livres comme n’importe quel autre, acheté dans une librairie sur le port pour tromper le temps, un livre qui n’a rien d’exceptionnel, un prétexte. Mais à l’intérieur du livre, il y a un trou.
    Juliette pourrait bien prétendre qu’elle ne le voit pas, ce trou, elle pourrait même ne pas le voir du tout, tant il est petit et insignifiant, mais il l’obsède : quel est ce mal invisible et silencieux, mangeur de mots, qui fait des trous dans les pages ?

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  • Solstices

    Solstices traite d’un sujet grave – le tragique de la condition humaine, prise dans l’étau du temps et de la mort. Mais en lisse l’âpreté par la fluidité d’un verbe mélodieux, à la douceur caressante, et la vertu d’une délicatesse de ton fragile, précieuse, constamment digne.

    Sensible, contemplative, méditative, portée par une langue simple, mais d’une écriture très métaphorique, la poésie de Michel SANTUNE infuse aussi, discrètement, et tenacement de toute la puissance d’émerveillement d’un poète qui sait être visionnaire, la beauté des êtres et du monde, donnée comme par grâce. Le lecteur y trouvera un pain de vie, de compassion et d’adhésion ; il sera irrésistiblement emporté par un sentiment de sympathie et d’union fraternelle.

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  • Les chemins de fer en 1914-1918

    Le 1er août 1914, contre l’Allemagne, la France mobilise près de 8 millions d’hommes, âgés de 20 à 48 ans, sur les 39 millions d’habitants que compte le pays.
    Les chemins de fer vont jouer un rôle primordial durant la Première Guerre mondiale. Par le décret du 2 août 1914, ils relèvent « tout entier de l’Autorité militaire » avec des gares régulatrices, des gares de répartition et des stations-magasins dirigées par des militaires.
    De 1914 à 1918, les chemins de fer ont transporté 1 604 067 tonnes de marchandises et évacué plus de 2 millions de blessés. S’ajoutent les milliers de convois militaires pour le front lors de la mobilisation générale et les renforts juste après. En quatre années de guerre, l’alimentation et l’entretien du soldat est passé de 8 à 12 kilos par jour, principalement transportés en chemin de fer.
    Tout au long de la guerre, l’infanterie territoriale dont des gardes de voies et communication, les commis et ouvriers militaires d’administration, le régiment du 5e Génie, les sections des chemins de fer de campagne, des cheminots affectés à leur poste de travail, mais aussi des femmes et des travailleurs des colonies ou étrangers, vont œuvrer pour « le service des chemins de fer ». Britanniques et Américains vont aussi participer à l’organisation ferroviaire militaire des transports militaires.
    Comme un symbole de l’importance du rail durant cette guerre, débutée en chemin de fer, la Grande Guerre se termine dans le wagon de Rethondes lors de l’armistice du 11 novembre 1918.

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  • Un monde paumé

    Paul Baringou a une longue carrière de dessinateur de presse (Ouest-France, le Canard enchaîné, Le Monde, Médiapart…) à l’humour vif et satirique, défenseur de la Paix et de notre planète.
    Le hasard a fait remonter à la surface des dessins vieux de plus de 40 ans, signés Barou (son pseudo de l’époque) dont le sens résonne encore étrangement à notre époque.
    Déjà en 1980 : les guerres, la famine dans le Tiers-Monde, les dictateurs, les affaires politiques, la pollution…
    Des thèmes que l’on retrouve dans la deuxième partie de l’ouvrage et les fameux dessins de Baringou illustrant l’année passée.

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  • Élu domicile

    Constance rêve d’être propriétaire depuis quelques années. Son amie Lucie lui déniche une maison de charme inoccupée, en bord de rivière. Mais toutes les maisons anciennes ont une histoire…
    Madeleine Caussade et Paul Lambert, les anciens propriétaires, y ont imprimé la leur.
    Une histoire que Constance découvre peu à peu, alors qu’elle attend l’acte officiel de vente. Une période propice à une enquête nourrie, révélant à Constance les tableaux de Paul Lambert, troublant amateur de Paul Klee.
    Il faudra pourtant rénover cette maison. Mais comment garder les traces d’un « héritage » imprévu ? Cette maison pourra-t-elle devenir le Refuge tant attendu…

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  • Délits d’encre n°42

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Le Groupe de Nantes
    récit de Christian Bulting

    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Anthologie
    Choix de Christian Bulting
    et Jean-Noël Guéno

    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    En guise de postface
    Ecole poétique ou cours de récréation poétique

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