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Commissaire Bourbonnais – L’homicide de Saint-Yorre
Une agression devant l’usine d’embouteillage de Vichy-Saint-Yorre. Un commissaire, de retour en France après une longue émigration au Canada, en poste à Vichy dans le bel immeuble de l’avenue Victoria. Au gré des méandres de l’enquête, il retrouve ses racines en Bourbonnais, Berry et Sologne. Il apprécie la visite du pays de ses ancêtres et la compagnie des gens de ces provinces. S’il se réserve les investigations à Varennes-sur-Allier ou Ivoy-le-Pré, le commissaire délègue à ses adjoints, la sympathique inspectrice principale Maryse Ancelin et le bouillant inspecteur Lacaze, les recherches à Lapalisse, Saint-Germain, Saint-Pourçain, Creuzier ou Vichy. Et il n’est pas interdit d’accepter un petit café ou un pastis qui aident à délier les langues.
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Flocontes de Noël
La tradition des contes de Noël est toujours aussi vivante, mais si on retrouve ici quelques personnages familiers (le père Noël bien sur, mais aussi la mère Noël, ou le petit chaperon rouge), ils trouvent dans ces pages jeunesse et modernité. Des contes de Noël qui évoquent des choses graves : grèves, Tchernobyl, alcoolisme, enfants victimes des guerres, femmes qui aimeraient que leur mari assume leur part des tâches quotidiennes… ce n’est pas ordinaire ! Et pourtant, d’un bout à l’autre -ou presque- on garde le sourire. Les Flocontes de noël : Dis, pourquoi ? Pourquoi les petits enfants n’ont-ils pas toujours les cadeaux qu’ils ont commandés ? Le grand sapin parisien Le traîneau du Père Noël Le Noël du Petit Chaperon rouge Les bombes de Noël La colère de la Mère Noël
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La prophétie des amants d’Urles
Dans ce monde fantastique et médiéval, une prophétie annonce un amour passionnel entre Geoffroy, le jeune prince du royaume d’Urles, et Jeanne, une jeune ruralitène.
Jusqu’à l’âge de vingt ans, les deux jeunes gens vont s’aimer comme jamais, apprenant chaque jour à mieux se connaître, à dépasser de nouvelles frontières.
Mais comme la prophétie l’avait annoncé, à vingt ans le jeune prince tombe dans un coma sans fin qui amènera la destruction du royaume. Un coma d’où seule Jeanne peut le délivrer en partant dans une longue quête où elle affrontera démons imaginaires, et questionnements personnels.
Selon la prophétie, elle ne délivrera le prince qu’en offrant à celui-ci le bien le plus précieux qu’elle porte en elle… -
Trente comme un, Trente communes
C’est à travers leur passion de l’écriture que vingt-cinq écrivains de Loire Atlantique ont décidé d’unir leurs talents pour vous présenter un ensemble de textes sur les communes du département. L’aboutissement de ce projet se trouve aujourd’hui entre vos mains : un magnifique recueil alliant poésie et polar, humour et nostalgie, et dans lequel chaque lecteur reconnaîtra un lieu, un village ou une rue qu’il a arpenté. 25 nouvelles sur les communes de Loire-Atlantique 25 biographies d’écrivains ARTHON-EN-RETZ – Martine Monnier ; BOURGNEUF-EN-RETZ – Michel Moinier ; CARQUEFOU – Hervé Sard ; GRANDCHAMP-DES-FONTAINES – Béatrice Gédouin-Malinge ; GUéRANDE – Gaëlle Le Pavic-Ajouy ; HéRIC – Jacky Blandeau ; LE POULIGUEN – Roger Coupannec ; LES MARAIS SALANTS – Martine Lani-Bayle ; LES MOUTIERS-EN-RETZ – Joël Jaud ; NANTES – Julia Kino ; NANTES – Manuel Froger ; NANTES L’ANCIEN PORT – Zannie Voisin ; NANTES LES QUAIS – Paul de Brancion ; NANTES QUARTIER GRASLIN – Antoine George ; NANTES SAINTE-THéRèSE – Michel Chapalain ; NANTES SAINT-JOSEPH DE PORTERIE – Denis Retière; ORVAULT – Jules Peaudelapin ; PORNIC – Jean Hussegaut ; REZé TRENTEMOULT – Jean-Nicolas Konarzewski ; SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU – Françoise Boiziau-Sorin ; SAINT-SéBASTIEN -SUR-LOIRE – Yannick Guilbaud ; THARON – Hortensia Tournemine ; TREILLIèRES – Gwenaëlle Moullec-Le Therisien ; TREILLIèRES – Pascale Dubosq ; VERTOU – Hugues d’Achon
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La fête du Queniau – La é belle époque é de la ville de Sablé
Née aussitét aprés la Deuxiéme Guerre mondiale, la féte du Queniau a vraiment marqué la ville de Sablé durant plus de vingt-trois ans. Le é Queniau é, frére sarthois du ép’tit Quinquin é du Nord, fut l’enfant né de la volonté d’un Comité des fétes qui voulait réveiller, au lendemain des dures années passées, le caractére joyeux des Saboliens.
Aprés avoir mobilisé les quartiers pour relancer les é cavalcades é ou les é corsos é du passé, les différentes associations sportives ou culturelles saboliennes entrérent en jeu et introduirent les groupes dansants qui, alliés é une musique et un char évoquant un méme théme, allaient donner é cette féte du Queniau son caractére spécifique et assurer son succés régional.
La venue de vedettes du spectacle ou de la chanson contribua au fil des ans é faire de ce rendez-vous annuel une date importante dans l’Ouest. Le Comité des fétes, en lace depuis 1946, n’a jamais trouvé d’équipe remplaéante et le Queniau sabolien n’aura pas longtemps vécu aprés sa majorité.Jean Pinon, Sabolien de naissance, fut l’un des nombreux spectateurs de cette féte, puis méme un acteur, ayant participé comme musicien. Il dirigea également le groupe dansant de l’Etoile dés 1954, et poursuivra ce réle au-delé de la mort du Queniau, tant que le groupe sera encore engagé par des Comités des fétes extérieurs.
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28 Célébrités en Eure-et-Loir
L’Eure-et-Loir s’est vu attribuer le numéro 28 du temps des révolutionnaires, et il est constitué principalement des anciennes provinces de l’Orléanais (Beauce) et du Maine (Perche). Sans nul doute, le nombre 28 ne correspond pas au nombre de personnages illustres qui ont marqué l’histoire de ce département, et bien souvent l’histoire de notre si jolie France. Des portraits d’hommes et de femmes qui au fil des siècles ont pris place dans nos mémoires, mais aussi des biographies de personnes trop vite oubliées. Découvrez la face cachée de Diane de Poitiers, favorite d’Henri II, de Raymond Isidore, artiste, en passant par Jean Dunois, Jean Moulin, Hélène Boucher ou Jean de Rotrou. Philippe Régnier nous fait partir à la découverte de l’Eurélie, où au détour d’une ville, d’un château ou d’une rue, des noms reprennent vie le temps d’une balade. Des siècles séparent ces lieux et biographies, mais leurs racines les réunissent dans cet ouvrage.
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Aller Simple
L’homme qui part voyage seul.
Qu’il monte dans un train ou un avion, ou méme dans un corbillard. Parfois, comme dans une de ces nouvelles, il use de moyens de transport plus étranges. Et il arrive que cela ne soit que virtuel.
Bien sér, il est des voyages plus tragiques que d’autres. De plus désespérés. Mais humour et fraternité montrent toujours un sourire discret, méme si, chaque fois, l’histoire et la vie s’achévent en méme temps.
De Léon, pour qui ses amis se sont donné tant de peine, en pleine canicule, jusqu’é Fernand, parti retrouver un amour de jeunesse en récitant des vers de Walt Whitman, on croise dans ces récits aussi bien un ancien cambrioleur qu’un marathonien déchu, un joueur d’orgue de Barbarie qu’un mécanicien, détestant les voitures.
Dans ces nouvelles, le voyage est toujours un< é aller é vers l'inconnu, vers des réves souvent impossibles ou inachevés. Et il n'est pas toujours nécessaire d'aller loin. Voyager, c'est d'abord partir... Souvent, ici, sans retour. Un aller simple. -
Malgré le vent
Avant le drame, tous les paysages, toutes les
représentations fugaces sont allumées. Puis la Grande
Maladie plonge un voisin alité dans l’enfer charnel du
corps qui se défait.
L’autre Grande Infection nucléaire, irradiante, nous
installe dans la fréquentation de l’élémentaire et du
cosmos. Mais cette connaissance des soleils artificiels, des
éblouissances torrides, se paie d’une douleur é vie.
Déjé Claude Lévi-Strauss nous alertait dans Tristes
Tropiques : ? Ce que d’abord vous nous montrez, voyages,
c’est notre ordure lancée au visage de l’humanité é. Dans
toutes ces agressions, un étre pourtant riche de toute son
histoire, humaine, demeure épuisé, écrasé, essoré.
Or, s’il est écrivain comme l’est ici Jean-Claude
Lamatabois, le capteur de ces éclatements acquiert une
vision é transmettre é ses compagnons de vie. Il dit son
accession é des prodiges inconnus méme de Rimbaud,
lorsque la steppe russe s’asséche et que le lagon polynésien
se vide. Il ne reste alors que les végétations rouges de la
Lune Noire.
Voila pourquoi, il faut lire ce livre exceptionnel. -
Des feuillets, des mots vrais
Des feuillets, des mots vrais poèmes et nouvelles des Amis du Petit Pavé Faisant suite au collectif Sur un autre versant, le recueil Des feuillets, des mots vrais appelle à un nouveau voyage poétique. Entre prose, vers et nouvelles, les Amis du Petit Pavé laissent libre cours à la création littéraire. Une véritable quête s’engage au fil des pages : celle de la recherche des mots justes, des mots vrais…
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Sur le Caillou, pérégrinations en Mélanésie
Plusieurs années se sont écoulées depuis mon séjour sur le Caillou é nom affectueusement donné par ses habitants é la Nouvelle-Calédonie. Aux antipodes de mon quotidien, j’ai pérégriné avec joie dans ce petit coin du Pacifique, réel et imaginaire. Ce n’est pas l’exotisme au sens vulgaire qui a fait de ce séjour une expérience inoubliable, mais le déplacement de mon point de vue et, par conséquent, de mon regard.
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Je suis mort hier, à quatorze heures…
Le narrateur – qui ressemble beaucoup à l’auteur – témoin privilégié, raconte à la première personne ses obsèques et les conséquences de sa mort chez ses proches, amis et entourage politique, souvent amusé par les réactions des uns et des autres. Ce fil rouge permet de porter un jugement distancié sur les êtres et les choses de la vie. Quand je dis 14 heures, c’est par recoupement. J’étais arrivé vers 12 h 30 au café de la Rose pour y disputer la partie de tarot qui réunit presque quotidiennement notre bande de copains, des profs pour la plupart, depuis près de trente-cinq ans. Trente-cinq ans que nous faisons des petites, des pousses, des gardes, des gardes sans ou contre (mais bien plus rarement), en commentant l’actualité et en riant des jeux de mots, souvent très drôles, du plus jeune d’entre nous, éric, intarissable en ce domaine.