• Le soldat peintre

    Mahajanga, Madagascar, 1905… Le jeune Alfred est subjugué par ce port plein de vie et d’Histoire. Mais comprend- il que son père, militaire originaire de la Meuse,
    rentre en France pour toujours où il fondera un autre foyer avant de mourir lors de la Grande Guerre ? Ainsi débute l’incroyable destin de ce jeune métis. Mi-malgache mi-français, bâtard, noble, héros de plusieurs conflits armés, peintre, bricoleur et chasseur, Alfred a traversé l’entièreté du vingtième siècle, parcourant le monde de Tananarive à Marseille, de la Chine au Maroc, de Bretagne en Allemagne.

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  • Et si on parlait d’amour !?

    Samedi 30 juillet 2022, il part rejoindre Davos, la capitale de la mondialisation en courant 23 marathons de suite et en réalisant un documentaire sur l’amour. « Et si on parlait d’amour ? », demande-t-il aux personnes qu’il rencontre sur la route.
    Dans ce livre, au travers d’étapes de sa vie personnelle, il éclaire ses raisons de courir, d’être allé à la rencontre des autres et d’espérer.

    « La peur en nous joue un très grand rôle dans les crises d’aujourd’hui » expliquait Ariane Bilheran, brillante psychologue qui a m’a honoré de son soutien. Elle a ajouté « ce qui chasse la peur, c’est l’amour ».
    J’ai voulu porter l’attention sur cette énergie illimitée, comme espérer que nous puissions apprendre ensemble. Et, au-delà de ces rencontres riches, je crois que ce que je pouvais faire de mieux pour le monde, c’était d’évoluer moi-même. Apprendre à mieux m’aimer et chercher ce qu’est l’amour.

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  • J’irai voir Pissarro

    1870. La guerre vient d’être déclarée. Julien s’ennuie sur la ferme de ses parents près de Laval. Son père le voyait pourtant en successeur. Ses outils de prédilection, ce sont plutôt les crayons et la feuille de dessin. Julien gribouille, esquisse dès qu’il est touché par une situation, un paysage. Son oncle et parrain devine qu’il s’épanouira autrement que dans les travaux agricoles ; il le pourvoit en pastels et pigments.

    Julien doit vaincre les résistances à sa passion et expliquer à son amie Victorine, intriguée par ses choix, ce que représentent les couleurs pour lui. L’oncle de Julien le met en relation avec Ludovic Piette, un impressionniste du nord de la Mayenne. Piette est l’ami de Pissarro. Julien aimerait voir Pissarro travailler ses couleurs. Les trains vers Mayenne, vers Paris, rendent ses rêves accessibles.

    C’est ainsi que nous entrons dans un univers impressionniste où se profilent en filigrane quelques tableaux de Piette et de Pissarro. Les thèmes du jardin, des marchés, des trains y trouvent aussi leur place…

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  • Les retraites du 49.3

    Paul par ses illustrations satiriques et Muriel par ses textes insolites ont réalisé un « panorama » drôle et critique sur cette période délirante durant laquelle un président recula à 64 ans l’âge de la retraite, sans écouter ni la rue, ni la démocratie, mais en utilisant un chiffre magique : 49.3.
    Dans le même temps, Paul nous ramène en annexe au président Poutine, le dictateur russe, dont les pérégrinations continuent à l’autre bout du continent.

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  • La ville atlantique

    Une ville ouverte sur la mer… Saint-Nazaire…
    Décennies 1950, 1960…

    « Ville glissant de partout à la mer » écrivait Julien Gracq.
    Une enfance et une adolescence dans cette ville, indissolublement liées avec le port, les plages, l’horizon derrière lequel on imagine les Amériques. Et puis le damier des rues que l’on arpente
    pour aller à l’école primaire, à St Jo, pour faire un tour en ville, le soir, après le collège. Les librairies, nombreuses, distribuées autour de l’axe central, l’avenue de la République, la rencontre d’un libraire passionné, qui à l’enseigne du « Tiers-livre » accueille, conseille, guide.
    Vivre dans une ville fait ressentir celle-ci comme le prolongement de son corps. On est un élément d’un organisme et on bat avec lui. Impossible de s’abstraire du pouls de la ville. Sortir, c’est  étendre les jambes à travers les rues. Celles-ci sont presque soi et on ne saurait se dissocier de leur topographie.
    Tout part de l’immeuble aux carreaux de céramique jaune, le père du narrateur tient un magasin de photographie, véritable univers avec la boutique, le studio, le laboratoire… Et un jour, il faut quitter ce centre-ville, pour un quartier chic, à la sortie de la ville, face à la mer.
    « La mer, la mer, toujours recommencée ! » écrivait Paul Valéry.

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  • En haute solitude

    En Haute Solitude, né d’une grande et belle solitude dans les Alpes, est un recueil contemplatif, méditatif, riche en sensations personnelles et suggestives. Dans les pas du poète, dont l’art est un art de la pensée en images, on emprunte un chemin vert qui persille, on croise le caillou charnu, l’orchis vanillé, on s’élève vers les sidérations éblouies de l’enfance, pour qu’enfin les ailes palpitent et s’ébrouent de soleil anisé. La solitude dépouillée de l’ego qui s’éteint et s’efface, la quête ascensionnelle d’une altitude spirituelle hors du temps, sont ici célébrées sans grandiloquence, mais avec l’intensité d’un verbe dense, à la gravité en apesanteur. Le lyrisme, pudique et sobre, rythmé par un souffle lisse et retenu, a su épouser la recommandation de la voix intérieure : Sois au plus près des choses qui ne disent / rien… rien autre que le frémissant chuchotement, le murmure insinuant, mais silencieux à force d’être continu, des vérités premières.

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  • Ma Fête de l’Huma

    Ça va être ta fête, lectrice, lecteur de cet abécédaire !
    Sans du tout remplacer les livres savants parus sur la question, l’auteur évite une simple « belle lisse poire » de cet évènement et nous donne un regard sociologique amusant et passionné, agrémenté de nombreux documents et icones. Ils en prennent pour leur grade, ceux qui, pieusement, copieusement, reprennent les idées reçues ! Pas de tapis rouge aux idées brunes ! L’ouvrage transmet la saveur et le savoir d’un festival d’éducation populaire… Ce n’est pas la fête de la Fédération de 1792, ni les « pardons » du Moyen-Âge, ni la foire du trône ou la feria de Nîmes : c’est LA Fête, la Fête de l’Humanité !

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  • Délits d’encre n°38

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Histoire simplifiée de la Poste et de la diffusion des livres
    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Pour une poste et des idées moins timbrée !
    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Extrait de Le Colporteur par F.A. Chevrier (1761) suivi d’un florilège Au bonheur de la Poste

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  • Meurtre sur l’Isère

    La rivière Isère fut le théâtre d’un drame. Un problème se pose : était-ce un accident ou un meurtre ? La justice a tranché pour la seconde solution. Sophie, la condamnée, a toujours clamé son innocence. En vain. Certains témoignages, jugés parfois tendancieux, l’ont envoyée derrière les barreaux. La voici qui sort de la Maison d’Arrêt de Valence, ayant purgé sa peine. Ne va-t elle pas chercher à se venger ? Déjà un des témoins clés disparaît. Alors, en parallèle aux enquêtes de police infructueuses, le père de la première victime, Yves Duchesne, propriétaire du restaurant le San Vito, place Jean Jaurès, embauche John Becker, détective privé, ancien flic canadien, qui va remuer ciel et terre pour dénouer les fils de cette intrigue.

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  • Cette nuit-là, la Sorcière…

    Des ombres furtives dans un chemin creux, des coups de feu inquiétants, une famille désemparée, un orage menaçant, les images de cette nuit irréelle de 1794 resteront longtemps dans votre mémoire tant le suspense est intense. Sans aucun temps mort. La Sorcière, fascinante et redoutée, hante les esprits et agit comme un aimant diabolique sur toute une région qui a perdu ses points de repère.

     

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  • Délits d’encre n°37

    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    Les Kanak et le bagne
    de Marinette Delanné
    « Grognard » Archives – Témoignage – Relique
    Le Paradis Calédonien
    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    Contes Kanak par Louise Michel

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  • Délits d’encre n°36

    « Grognard » Archive – Témoignage – Relique
    L’art de la nouvelle
    Deux textes méconnus à découvrir
    de Edgar Poe et Louis Pergaud
    « Gavroche » Essai – Critique – Pensée
    La nouvelle aujourd’hui
    « Gribouille » Littérature – Découverte – Florilège
    L’âme perdue – Nouvelle de Francis Carpentier

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