• Faites l'Humour pas la guerre ! aux Editions du Petit Pavé

    Faites l’Humour pas la guerre !

    Par des textes courts et des dessins,
    l’auteur décrit ou caricature
    avec humour des circonstances cocasses,
    à travers l’histoire, la vie sociale,
    la vie économique et politique,
    les animaux, les relations hommes-femmes…
    Il joue avec les dictons, les expressions courantes, détournés de leur sens habituel
    pour inciter à rire et, ainsi, rester en pleine forme, car il est recommandé de rire
    au moins six minutes par jour,
    pour continuer à avoir la pèche.

    10,00
  • La Pente raide d'un été aux Editions du Petit Pavé

    La Pente raide d’un été

    Après son roman « Petite histoire subjective et romancée de la pèche à la truite en France » et l’édition de son recueil de nouvelles « Le géant heureux », Pascal Pratz a choisi de réunir sous la même couverture deux longues nouvelles, deux courts romans, qui décrivent, au fil des pages, la lente coulée de la lave rouge vif de la vie le long de la pente des circonstances fortuites. Ce liquide plein de feu qui dévale, parfois ralentit, parfois s’égare, mais toujours ravage ce qui se trouve sur son passage.
    Une littérature de rouge et de noir, comme les deux péles de l’existence.

    13,00
  • Hier

    Hier, Aujourd’hui et Demain

    Des histoires vécues dans ce Paris d’hier, lieu de naissance de l’auteur.
    Des histoires aussi mêlant imaginaire et réel dans notre douce France.
    Quelques souvenirs… Réalité ? Fiction ?
    Des inconnus qui croisent, au fil des pages, l’espace d’un instant, des personnages célèbres
    Ainsi Romain Gary, Antoine Pinay, Danièle Delorme côtoient sans le voir l’ami Georges et ses baguettes de coudrier.
    C’est aussi à Le château de ma mère avec Pagnol et sa petite sœur au pays des cigales…

    Tout commence en 1916 dans les tranchées. Tout s’achève dans les années 3000 dans un Paris é peine imaginable.

    10,00
  • Dans les pas du Maréchal Leclerc et du Capitaine Dronne aux Editions du Petit Pavé

    Dans les pas du Maréchal Leclerc et du Capitaine Dronne

    Le 8 aoét 1944, lorsque léarmée de Patton arrive dans la région de Noyen-sur-Sarthe, René Couédel informe les Américains des positions allemandes. En septembre, il séengage dans les troupes FFI, qui viennent grossir les rangs des Franéais Libres et qui combattent en Lorraine et en Alsace. Céest lé, lors des combats autour de Colmar, quéil est gravement blessé au genou.
    Céest é cette époque que l’auteur rencontre le Capitaine Dronne, son commandant déunité

    18,00
  • Destins croisés au bagne au bagne de Cayenne aux Editions du Petit Pavé

    Destins croisés au bagne au bagne de Cayenne

    Parti de Guinée avec une compagnie d’infanterie coloniale, le sergent Fignac séjourne à Cayenne en 1943. Il doit participer à la libération de la Guadeloupe, tenue par un partisan de Pétain, l’amiral Robert, à qui on laisse le temps, officieusement, de s’éclipser. Le passage à Cayenne change le sous-officier Fignac. D’abord indifférent, il subit une évolution psychologique au contact d’une jeune fille et de sa famille, d’authentiques Guyanais. Les bagnards de Cayenne, ces hommes sans foi ni loi, forment l’arrière-plan de ce roman.

    10,00
  • Les travailleurs de la Loire au XIXe siècle aux Editions du Petit Pavé

    Les travailleurs de la Loire au XIXe siècle

    L’histoire des riverains de la Loire et des gens qui travaillaient sur le fleuve entre Saumur et Bouchemaine, au XIXe siècle.

    25,00
  • Histoires de Chansons aux Editions du Petit Pavé

    Histoires de Chansons

    Dans Histoires de chansons, les héros sortent des fredaines et reprennent leur place originelle. Ainsi, ces femmes et ces hommes ne sont plus simplement des refrains, mais des personnages, et les chansons deviennent des histoires.

    Extrait :

    Je la titille, je l’excite, je la garde à vue ma mémoire. Le temps de me barbouiller les genoux au mercurochrome et tiens ! J’arrive à y retourner facilement chez ma tante Olga, dans sa drôle de maison avec ce grand jardin qui donne sur la voie de chemin de fer. Dans la petite cuisine en long qui sent le fioul, une cocotte balance la vapeur à toute volée. Tonton Lucien se repose dans la chambre. Faut pas faire de bruité Vous avez vu ? Ça y est, c’est parti. Les petites cases à souvenir se sont ouvertes et leur contenu se répand dans mon esprit sans que je puisse contrôler quoi que ce soit.
    Le seul hic je ne me souviens plus du tout si j’ai inventé cette scène, si je l’ai rêvée ou simplement vécue !

    15,00
  • Bilancia

    Bilancia, Tome 2 : Le couronnement de l’Hermine

    La petite chatte Bilancia avait laissé en cadeau de magnifiques perles en or à la famille Dubreuil, mais pour quelle raison ? Margaux et Richard soupçonnent rapidement ces bijoux d’être à l’origine d’étranges phénomènes… Bilancia ? Le petit François ? L’étoile Tarazed ? La reine Anne de Bretagne ? Le deux jeunes adolescents vont s’employer à réunir toutes les pièces du puzzle afin de résoudre un nouveau mystère qui va les amener dans les profondeurs inconnues du temps et de l’Histoire…

    19,00
  • Parti sans laisser d'adresse aux Editions du Petit Pavé

    Parti sans laisser d’adresse

    Manœuvre, routier, routard puis journaliste, Philippe Gilbert est nouvelliste par goût. Son écriture est musclée, pas virile mais nerveuse, avec une manière de dire forte. Ses histoires, légères mais graves, s’offrent dans un large éventail. Mi- fiction, mi- journal de bord, parfois conte, parfois chapitre inachevé, ou encore forme d’article de presse, ces histoires nous bercent à travers quelques pays et villes qu’il a visités : Yamoussoukro, Anvers, Amsterdam, Moscou… mais aussi en Charente-Maritime et en Vendée, où il vit. Il admire Céline, Bukowsky, Jean Hougron, Dino Buzzati, Henri Callet, Ella Mallard… et Gilbert Prouteau, dont il est un disciple.

    Parti sans laisser d’adresse est son premier recueil et comprend 16 nouvelles.

    14,00
  • La fille du diable aux Editions du Petit Pavé

    La fille du diable

    « La fille du diable » est le second récit de Jean-Baptiste Belin, où se mêlent, à travers une histoire romanesque prenant naissance dans les années cinquante, la nostalgie, l’éducation, l’initiation et l’amour… la vie, quoi ! « Jérémie grandit dans cette ambiance familiale des années 50, basée sur l’absolu respect des traditions et une religiosité omniprésente. Oui, le temps ! Le temps qui passe, compagnon inexorablement fidèle que l’on veut parfois chérir pour la vie. L’instant d’après, on ne veut plus que le maudire. Le temps qui fait d’un enfant, un homme et bien vite un vieillard. Mais aussi le temps qui fait naître un bonheur dans l’amour… »

    12,00
  • Force Ouvrière chez les cheminots - T2 : 1955-année 1970 aux Editions du Petit Pavé

    Force Ouvrière chez les cheminots – T2 : 1955-année 1970

    De 1955 à 1962, ces années se déroulent dans un contexte conflictuel, avec le développement de la guerre froide et des terribles et très douloureux conflits en Afrique du Nord.
    Il s’agit aussi d’une époque de retentissante explosion de mécontentement populaire exprimée par les étudiants et les salariés en répondant à l’appel de cessation du travail lancé é la mi-mai 1968 par toutes les centrales syndicales de tous les secteurs d’activité confondus.
    Cette étude s’achève par l’analyse des conséquences de cet important conflit social, en matière d’évolution des conditions de vie et de travail, obtenues à la suite des Accords de Grenelle. La SNCF, tout en appliquant ces nouvelles dispositions sociales acquises, poursuit la mise en place de sa réforme de structures suivie des prolongements sociaux liés aux conséquences de cette modernisation, comprenant aussi la réforme de la grille de rémunération.

    Un dictionnaire bibliographique, nous présente également les militants des plus humbles aux plus importants, leurs participations à la construction de l’Europe qu’ils souhaitaient plus sociale.

    20,00
  • Le carillon des temps maudits

    Le carillon des temps maudits, avoir vingt ans en 1940…

    La vie n’a pas été un ruisseau tranquille pour les jeunes qui ont eu la malchance d’avoir vingt ans pendant les années 1939-1945. Ce roman, inspiré de faits réels, a pour cadre un village vendéen. Il nous fait partager la vie de ses jeunes gens, dont beaucoup seront victimes de la déportation ouvrière ; certains y ont trouvé la mort, d’autres s’évaderont ou se cacheront. Malgré tout, l’amour saura se frayer un chemin dans ces instants douloureux.

    « C’est en pensant à cette jeunesse, envers laquelle la grande Histoire sera indifférente, que j’ai voulu conter cette histoire, à la mémoire de ceux, surtout, qui sont morts sous les bombes et dont les restes reposent peut-être encore sous les fondations de somptueux buildings qui s’élèvent, majestueux, dans le pays où ils sont morts. » André Deguil

    16,00