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Les assassins de la planète verte
Imaginez un des derniers villages de notre planète devenue un immense désert brélant… Quelques survivants y luttent pour leur bien le plus précieux et le plus rare : l’eau !
Les Assassins de la Planète verte est une fiction qui emmène le lecteur au cœur d’une lutte poignante pour la survie de l’humanité. La folie des hommes a tout ravagé ; mais une autre folie parviendra-t-elle à sauver notre Terre ? La jeunesse porte-t-elle en elle un espoir insensé plus fort que le cauchemar qui nous menace ?
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Escale à Mourmansk
Les huit nouvelles de ce recueil saisissent ces moments de la vie où le réel dérape, en douceur ou brutalement, vers l’insolite, le tragique ou le fantastique. Huit escales dont le voyageur ne ressort pas indemne sur l’océan de la folie humaine.
« Il avait de moins en moins le sentiment d’exister, alors il est allé chez le cordonnier. Et au cordonnier, qui en l’occurrence était une cordonnière, il a demandé de poser des fers à ses souliers. »
« C’était la première fois que je voyais quelqu’un en finir avec la vie. Et rien ni personne n’aurait pu m’empêcher d’agripper ces instants vertigineux où la mort, telle une comète, laisse entrevoir le silence bleuté de l’éternité. »
« Et puis j’ai serré la main de Papa très fort, très très fort même, car y avait plein de bazar dans ma tête. »
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Faites l’Humour pas la guerre !
Par des textes courts et des dessins,
l’auteur décrit ou caricature
avec humour des circonstances cocasses,
à travers l’histoire, la vie sociale,
la vie économique et politique,
les animaux, les relations hommes-femmes…
Il joue avec les dictons, les expressions courantes, détournés de leur sens habituel
pour inciter à rire et, ainsi, rester en pleine forme, car il est recommandé de rire
au moins six minutes par jour,
pour continuer à avoir la pèche. -
La Pente raide d’un été
Après son roman « Petite histoire subjective et romancée de la pèche à la truite en France » et l’édition de son recueil de nouvelles « Le géant heureux », Pascal Pratz a choisi de réunir sous la même couverture deux longues nouvelles, deux courts romans, qui décrivent, au fil des pages, la lente coulée de la lave rouge vif de la vie le long de la pente des circonstances fortuites. Ce liquide plein de feu qui dévale, parfois ralentit, parfois s’égare, mais toujours ravage ce qui se trouve sur son passage.
Une littérature de rouge et de noir, comme les deux péles de l’existence. -
Hier, Aujourd’hui et Demain
Des histoires vécues dans ce Paris d’hier, lieu de naissance de l’auteur.
Des histoires aussi mêlant imaginaire et réel dans notre douce France.
Quelques souvenirs… Réalité ? Fiction ?
Des inconnus qui croisent, au fil des pages, l’espace d’un instant, des personnages célèbres
Ainsi Romain Gary, Antoine Pinay, Danièle Delorme côtoient sans le voir l’ami Georges et ses baguettes de coudrier.
C’est aussi à Le château de ma mère avec Pagnol et sa petite sœur au pays des cigales…Tout commence en 1916 dans les tranchées. Tout s’achève dans les années 3000 dans un Paris é peine imaginable.
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Histoires de Chansons
Dans Histoires de chansons, les héros sortent des fredaines et reprennent leur place originelle. Ainsi, ces femmes et ces hommes ne sont plus simplement des refrains, mais des personnages, et les chansons deviennent des histoires.
Extrait :
Je la titille, je l’excite, je la garde à vue ma mémoire. Le temps de me barbouiller les genoux au mercurochrome et tiens ! J’arrive à y retourner facilement chez ma tante Olga, dans sa drôle de maison avec ce grand jardin qui donne sur la voie de chemin de fer. Dans la petite cuisine en long qui sent le fioul, une cocotte balance la vapeur à toute volée. Tonton Lucien se repose dans la chambre. Faut pas faire de bruité Vous avez vu ? Ça y est, c’est parti. Les petites cases à souvenir se sont ouvertes et leur contenu se répand dans mon esprit sans que je puisse contrôler quoi que ce soit.
Le seul hic je ne me souviens plus du tout si j’ai inventé cette scène, si je l’ai rêvée ou simplement vécue ! -
Parti sans laisser d’adresse
Manœuvre, routier, routard puis journaliste, Philippe Gilbert est nouvelliste par goût. Son écriture est musclée, pas virile mais nerveuse, avec une manière de dire forte. Ses histoires, légères mais graves, s’offrent dans un large éventail. Mi- fiction, mi- journal de bord, parfois conte, parfois chapitre inachevé, ou encore forme d’article de presse, ces histoires nous bercent à travers quelques pays et villes qu’il a visités : Yamoussoukro, Anvers, Amsterdam, Moscou… mais aussi en Charente-Maritime et en Vendée, où il vit. Il admire Céline, Bukowsky, Jean Hougron, Dino Buzzati, Henri Callet, Ella Mallard… et Gilbert Prouteau, dont il est un disciple.
Parti sans laisser d’adresse est son premier recueil et comprend 16 nouvelles.
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Et il ne s’est rien passé…
Les habitants d’une petite ville des bords de Loire mènent une vie routinière à l’écart du monde, confinés é l’intérieur du périmètre de contamination depuis l’explosion d’un centre de stockage de déchets nucléaires.
Mais un jour, la grande fête annuelle est perturbée par l’intervention d’êtres étranges. Certains enfants du complexe éducationnel Jules Verne semblaient connaître leur existence et soupçonner leur venue…
Réalité ? Hallucination collective ? Gigantesque canular ?
Une commission nationale est dépêchée pour enquêter sur place. -
Dans l’intimité d’une lutte
Dans l’intimité d’une lutte retrace le destin maudit d’un être différent confronté au mépris et é l’intolérance des autres…
L’enfant aux mots brisés relate la mésaventure d’un enfant bègue.
Mauvais présage présente un jeune homme, entre adolescence et monde adulte, qui, à travers un cauchemar, mesure le chemin qui lui reste à parcourir avant de devenir l’homme qu’il s’imagine…
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Calembourdes
Extrait :
L’histoire a déjé démontré
qu’il faut de la restauration
quand on n’a plus de bon appart.*
En général, le chef de cabinet du Garde des Sceaux est affecté aux affaires courantes.
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Le politique qui se dérobe n’est pas digne
de porter la culotte. -
Le bonheur de la petite Emilienne – Dans la maison du bois du Plessis
L’histoire de l’enfance d’Emilienne Fouquet et de ses parents.
Ils étaient exploitants ardoisiers à Saint-Georges-Le-Gaultier, dans la Sarthe, au début des années 1880. Emilienne a grandi parmi les fleurs et les ardoises, dans la maison qui regardait depuis vingt-cinq ans la vallée encaissée de la Vaudelle.