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Jean Bourgeon, 70 ans, bien connu sous le surnom d’Obélix dans le mouvement des Gilets Jaunes angevins, même les policiers l’appellent comme cela, nous raconte sa vie. Avec l’aide,
pour la retranscription de son récit de vie, de sa camarade Sylvie Cognard, il évoque les nombreuses misères et ruptures qui ont parsemé son chemin de vie.
12,00 €
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Cet ouvrage remet en valeur les traces qu’a laissées cette guerre dans l’Ouest de la France. D’abord en relatant l’histoire de ces grands héros, comme le général Chanzy, les hommes mobilisés (les « Moblots »), ou les francs-tireurs…
Puis en parcourant les cimetières, parcs, places de nos villes et villages de l’Ouest de la France, à la recherche des statues, monuments et autres marques de commémorations de cette guerre souvent oubliée.
C’est aussi le parcours personnel de son auteur, randonneur insatiable des villes, photographe de statues et de plaques commémoratives, de cimetières… ce qui lui permet d’appréhender le passé pour comprendre le présent et le partager.
22,00 €
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Si la richesse historique et économique de l’Anjou dans le royaume de France a déjà été abordée dans de nombreux ouvrages et autres recherches, l’étude des monnaies féodales dites d’Anjou n’avait encore jamais fait l’objet d’un livre. C’est maintenant chose faite.
La monnaie est un moyen pour chaque comte de mettre en valeur son image par des références que l’auteur nous expose ici, ainsi qu’un outil économique. La propagation des monnaies
d’Anjou principalement sur l’Ouest de la France, mais aussi vers le Sud, prouve l’influence de cette région dans le royaume.
29,00 €
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Force agissante, active dans tous les champs de la société, L’Éducation populaire contribue à la construction sociale. Des idéologies s’en revendiquent. L’économie cherche à la mettre à son service. Les forces politiques veulent se la concilier.
Utopie créatrice, l’éducation populaire porte dans son ventre un monde nouveau à naître, une option alternative en mesure de faire vivre une démocratie jamais complètement aboutie.
20,00 €
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2 Février 1944. Il est 22 heures devant le château de Tardais occupé par les SS lorsque deux jeunes Bretons, réfractaires au Service du Travail obligatoire (STO), tentent de faire du stop pour regagner la ferme familiale des Loquets gérée par Alain Le Noc.
Ils rentrent de Bretagne où ils se sont cachés plusieurs mois. Une voiture arrive de Senonches et s’arrête. Les jeunes se parlent en breton pour ne pas attirer l’attention et le couvre-feu va débuter, il faut se dépêcher. On les balance dans l’étang et on prend la voiture, annonce Joseph à son cousin. Mais dans la voiture, une voix répond en breton : Fais pas le couillon Joseph, c’est ton père qui te parle.
20,00 €
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Déjà Don Quichotte s’imaginait à une autre époque et, par là, pouvait annoncer des temps nouveaux improbables.
N’est-ce-pas le propre de certains « philousophes », comme celui qui expose ici ses faits et méfaits, allant de l’Histoire de l’éducation à celle des penseurs grecs, en passant par Levebvre, Jankélévitch et quelques autres…
18,00 €
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Angevine, la douceur ?
Ces trois mots, chute d’un poème de Joachim du Bellay au XVIe siècle, n’ont en réalité été remis en usage qu’en 1840, quand le poème, symbole de la nostalgie de son pays natal, devient plus populaire que certains textes de Victor Hugo.
15,00 €
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Ouvrir un livre sur le centenaire du parti communiste français c’est se confronter aussitôt aux grands bouleversements d’un siècle et aux évènements qui marquent l’histoire. Les cent voix ici mises à nu, méritent déjà d’être entendues. Certaines d’entre elles se sont éteintes à jamais. D’autres continuent de cheminer dans le grand concert du monde, aux prises avec l’idéal comme avec le réel. Toutes sont précieuses pour qui s’intéresse au mouvement des idées et à la vie politique de la Loire Atlantique.
28,00 €
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Politique du grand débarras : la Troisième République de Thiers condamne à perpétuité les contestataires de la Commune de Paris. Près de 5000 communards sont expédiés au bagne de Nouvelle-Calédonie. Les déportés politiques, en attente – certains pendant 10 ans – d’une improbable amnistie, ont connu les châtiments les plus indignes, le désespoir et la faim.
Et Louise Michel, dans » l’enfer du bagne » ? Etonnante, comme toujours, une force de la nature, ouverte à l’inconnu, et révoltée de voir ses » frères » canaques et arabes, victimes de la colonisation pénale.
28,00 €
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» Ce livre n’hésite pas à s’en prendre à un tabou dans l’éducation. La question de la vie et de la mort traverse la pluspart des disciplines soclaires – littérature, éducation civique, biologie. Mais alors qu’elle frappe au plus profond les » apprenants », dans leur conscience existentielle, l’école, en règle générale, ne s’y arrête pas, ne l’aborde pas de front. […] Ce livre jette les bases d’une véritable dialectique évolutive. Il évite les facilités, ou la tranquillisation anesthésiante ; l’enfant souffrira moins de la netteté que de ce qui se cache ou affadit. La mort est effectivement présente, présentée ou plutôt représentée par des mots et des choses. […] »
Préface de François DAGOGNET (†)
20,00 €
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L’Ardoise est sans doute l’une des richesses économiques les plus connues de l’Anjou. Dès l’Ancien régime on recense de nombreux sites ardoisiers, dont la qualité, la légéreté, l’étanchéité permettent son exportation à travers l’Europe. En 1900, il reste en Anjou douze ardoisières exploitées, qui fermeront peu à peu au cours du siècle.
14,00 €
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En 40 ans, l’association a joué un rôle central pour la connaissance du mouvement ouvrier local, un rôle irremplaçable car, en raison notamment de l’absence de faculté dans la ville portuaire, cette histoire a été plutôt délaissée par les universitaires. En outre, elle a assuré des parutions sur les réalités industrielles et les mobilisations ouvrières alors même que ces thématiques, tout comme la notion de classe sociale et singulièrement celle de classe ouvrière, étaient passées au second plan de l’agenda médiatique et académique dans les années 1980 et 1990. Depuis, les sciences sociales se sont à nouveau emparées de ces questions en explorant les mutations de la condition ouvrière et, plus généralement, les recompositions incessantes des classes populaires.
Construit initialement à partir d’un texte inédit de Jean Aubin sur les années 1960, qu’il avait rédigé pour le tome 4 de la série » essais et documents », ce livre, qui comprend un texte de Robert Gautier, également décédé, sur le mouvement coopératif, est une manière de rendre hommage à ces deux co-fondateurs de l’AREMORS. Il s’agit aussi de poursuivre un travail au long cours de recherches sur l’histoire d’une région ouvrière emblématique, adossé à des publications mêlant rigueur historienne et souci de s’adresser au plus grand nombre. Un projet d’histoire populaire qui n’a en rien perdu de sa pertinence.
Extraits de la préface de Julian Mischi
28,00 €